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dimanche 17 juin 2012

bricolage et outillage




Le bricolage regroupe les occupations exercées hors du cadre professionnel en tant qu'amateur et liées à la création, l'amélioration, la réparation et l'entretien de toutes choses matérielles.
On dit d'une personne habile de ses mains qu'il est un « bon bricoleur ». À l'inverse, l'expression « bricoleur du dimanche » est plus péjorative. On évoque aussi un « système D » pour une réalisation particulièrement ingénieuse.
Le bricolage est une activité manuelle désignant de petits travaux, en général effectués chez soi. Dans la partie commerciale du secteur, le concept anglo-saxon du DIY pour do it yourself (« faites-le vous-même » en anglais) fut une telle réussite commerciale pour les magasins de bricolage qu'il s'est généralisé aux distributeurs de meubles, sous l'argument de prix compétitifs.
Le bricolage a gagné ses lettres de noblesse dans les années 1980 avec la conversion de titres de presse à des techniques de plus en plus professionnelles mises à la portée de l'amateur.

La vogue de la décoration a encore dynamisé le sujet.
Le bricolage touche aussi d'autre domaines comme l'automobile.
De manière générale, autoconstruction désigne le fait, pour un particulier, de réaliser une construction (par exemple sa propre maison, un voilier, une éolienne, un chauffe-eau solaire...) sans l'aide ou presque de professionnels.

L'autoconstruction des habitations est courante dans les pays en voie de développement et dans certains pays industrialisés, notamment dans certaines communautés en Amérique1 (Mormons, mouvement hippie ou écologiques...) ou aux Pays-Bas2 et plus ou moins sévèrement réglementée dans les pays riches.
Elle s'organise parfois en quartiers, voire en petites villes, le bidonville en étant une des formes. Parfois, elle s'appuie sur la restauration d'un patrimoine ancien (village abandonné, friche urbaine ou industrielle pour construction de lofts, etc.)
L'autoconstruction d'une maison inclut en particulier la réalisation du gros œuvre (maçonnerie) et charpente-couverture. Pour les gros chantiers, elle exclut souvent les fondations et le terrassement, confiés à une entreprise. Rarement, le mot d'autoconstruction est associé à la construction à partir de modules préfabriqués (maisons en kits).
L'autoconstruction concerne également des réalisations plus modestes qu'un pavillon. Mais tout projet nécessitant plusieurs corps de métier et une déclaration de travaux peut être conduit en autoconstruction. Des ONG et certaines autorités, parfois en collaboration avec des acteurs économiques (producteurs de matériaux ou d'écomatériaux), éditent des guides pour aider les autoconstructeurs.    




Elles sont variées ; les gens construisent des maisons individuelles ou partagées pour toute sorte de raisons, dont :
    •    créer un logement à moindre coût
    •    créer un environnement adapté aux souhaits et besoins particuliers de l'individu et de sa famille
    •    élaborer un style architectural et de vie plus personnel
    •    vivre dans une maison qu'on ne serait pas en mesure de s'offrir sur le marché « libre »
    •    éthiques, centrées sur la recherche d'autonomie, une volonté de sortir du système marchand. Souvent, l'autoconstructeur est également habité par une démarche de réappropriation de techniques et de savoir-faire simples : en ce cas, les principes de construction et de fonctionnement de l'habitat font appel à des techniques simples et pratiques, réalisables et réparables par l'habitant
    •    éthiques, centrées sur l'écologie, le respect de la nature et le souhait de recycler et réutiliser des matériaux, etc. Avec une approche de type haute qualité environnementale, les options architecturales et techniques retenues peuvent être très poussées et innovantes, faisant appel à des technologies de pointe.

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