Cet ancien comptoir britannique du détroit de Malacca est devenu, depuis peu, la destination chic de l'Asie. On s'y rend notamment pour découvrir George Town, une capitale en mouvement perpétuel.
Il suffit de flâner le nez en l'air dans les ruelles colorées de George Town, de prendre un thé ou une pinte sur une terrasse de Muntri Street, Love Lane, Armenian Street, Beach Street... pour sentir l'effervescence de la vieille ville. Périmètre architectural et culturel où l'âme de l'île est la plus palpable et la plus palpitante! Julia de Bierre, une exquise Britannique native de Penang, auteur d'un livre de référence sur son histoire et son patrimoine, raconte qu'il y a dix ans, personne ne voulait s'installer dans le centre historique. Il était beaucoup plus chic de posséder une propriété au vert ou un appartement spacieux dans une immense tour de standing qu'une antique shop house chinoise. Aujourd'hui, la tendance s'est complètement inversée. Les gratte-ciel passent pour des verrues et les vieilles maisons traditionnelles, pour des trésors qui s'arrachent à prix d'or.
Quand la capitale (200.000 habitants) de l'île a été inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco en 2008, Penang a compris qu'elle possédait là un joyau à redorer. Les nostalgiques vous diront que les néo-babas désertent peu à peu la destination au profit de bobos esthètes et de voyageurs happés par un cocktail inédit de modernité et d'héritage. Une petite bande d'«activistes culturels» - comme ils se définissent eux-mêmes avec un humour très British -, des amoureux de Penang ayant tous un lien intime avec la Malaisie, ont eu à coeur de restaurer les vieilles bâtisses et de leur insuffler une seconde vie. C'est ainsi que ne cessent de fleurir des boutiques-hôtels, des restaurants, des échoppes... qui rivalisent de charme et de caractère. A côté, la «vraie vie» bat son plein. On avale une laksa (soupe de nouilles typique à base de poisson) et un cendal (dessert local avec de la glace pilée, lait de coco, sucre et vermicelles vert fluo) dans une petite échoppe de rue. Les temples, églises, mosquées... cohabitent en harmonie. Les quartiers indien, colonial, chinois, malais... tissés ensemble s'imbriquent comme les fils d'une même pièce d'étoffe. Pas un mois sans son cortège de festivités religieuses, folkloriques, culturelles...
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Pour nous faire parvenir une information : contact@ikwpr.com en nous précisant le blog concerné : - http://maison-bricolage-jardin.blogspot.com/ - http://maison-bricolage-jardin.blogspot.com/ - http://maison-bricolage-jardin.blogspot.com/
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Quand la capitale (200.000 habitants) de l'île a été inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco en 2008, Penang a compris qu'elle possédait là un joyau à redorer. Les nostalgiques vous diront que les néo-babas désertent peu à peu la destination au profit de bobos esthètes et de voyageurs happés par un cocktail inédit de modernité et d'héritage. Une petite bande d'«activistes culturels» - comme ils se définissent eux-mêmes avec un humour très British -, des amoureux de Penang ayant tous un lien intime avec la Malaisie, ont eu à coeur de restaurer les vieilles bâtisses et de leur insuffler une seconde vie. C'est ainsi que ne cessent de fleurir des boutiques-hôtels, des restaurants, des échoppes... qui rivalisent de charme et de caractère. A côté, la «vraie vie» bat son plein. On avale une laksa (soupe de nouilles typique à base de poisson) et un cendal (dessert local avec de la glace pilée, lait de coco, sucre et vermicelles vert fluo) dans une petite échoppe de rue. Les temples, églises, mosquées... cohabitent en harmonie. Les quartiers indien, colonial, chinois, malais... tissés ensemble s'imbriquent comme les fils d'une même pièce d'étoffe. Pas un mois sans son cortège de festivités religieuses, folkloriques, culturelles...
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